En direct, guerre en Ukraine : « Nous refusons d’entrer dans une logique d’escalade », tempère Emmanuel Macron après ses propos sur le déploiement de soldats

ADVERTISEMENT

Emmanuel Macron

Emmanuel Macron Le président français Emmanuel Macron, lors de son discours au lycée français de Prague, mardi 5 mars.

Live en cours

« La guerre est revenue sur notre sol, des puissances devenues inarrêtables sont en train d’étendre la menace chaque jour » et « il nous faudra être à la hauteur de l’histoire et du courage qu’elle implique », a déclaré le chef de l’Etat lors d’un discours devant la communauté française.

Emmanuel Macron L’essentiel du 4 mars en fin de journée

  • Fuites dans l’armée allemande : l’ambassadeur d’Allemagne convoqué à Moscou

L’ambassadeur Alexander Graf Lambsdorff s’est rendu au ministère des affaires étrangères. Le Kremlin a dénoncé « l’implication directe » de l’Occident en Ukraine, à la suite de la diffusion sur les réseaux sociaux russes d’une conversation entre officiers allemands sur des livraisons d’armes à l’Ukraine. De son côté, Annalena Baerbock, la ministre des affaires étrangères allemande, a exhorté la coalition de son pays à « considérer » la possibilité de livraisons de missiles Taurus à l’Ukraine.

  • Russie : la plainte de Boris Nadejdine contre l’invalidation de sa candidature à l’élection présidentielle rejetée par la Cour suprême

La candidature de Boris Nadejdine, seul opposant à Vladimir Poutine et à l’offensive en Ukraine à s’être présenté à l’élection présidentielle, a été invalidée le 8 février par la commission électorale, selon laquelle le nombre de signatures irrecevables dépasse le seuil limite de 5 %.

  • L’Ukraine presse l’Occident de lui transférer les actifs russes gelés

Le premier ministre ukrainien, Denys Chmyhal, a demandé aux puissances occidentales de transférer à Kiev les 300 milliards d’euros d’actifs russes gelés afin d’éviter que des élections dans des pays alliés ne remettent en cause le soutien face à l’invasion de Moscou.

  • La Pologne réclame des sanctions européennes pour les produits agricoles russes et biélorusses

Le premier ministre polonais, Donald Tusk, a annoncé son intention de demander lundi au Parlement polonais d’adopter une résolution « invitant la Commission européenne à imposer des sanctions complètes » concernant les produits agricoles et alimentaires russes et biélorusses qui ne font pas l’objet des embargos européens.

  • Les livraisons d’armes non affectées par le blocus polonais de la frontière, selon Kiev

Le blocus de la frontière ukrainienne par les agriculteurs polonais mobilisés contre ce qu’ils considèrent comme une concurrence déloyale de leurs voisins orientaux n’a pas de conséquences sur les livraisons d’armes, a assuré lundi le premier ministre ukrainien, Denys Chmyhal.

  • Adhésion de l’Ukraine à l’Union européenne : Bruxelles présentera le cadre de négociations à la mi-mars

La Commission européenne a confirmé, lundi, qu’elle présenterait aux Etats membres dans le courant de mars le cadre de négociations en vue d’une adhésion de l’Ukraine à l’UE. Cette échéance faisait l’objet d’une incertitude, la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, ayant un temps évoqué « le début de l’été », avant de déclarer trois jours plus tard, lors d’une conférence de presse à Kiev, le 24 février, que cela aurait bien lieu « à la mi-mars ».

  • L’Ukraine dit ne pas avoir reçu 16 milliards d’euros d’aide collectés en 2022

Plus de 16 milliards d’euros d’aide à l’Ukraine, collectés par la Pologne et la Commission européenne lors de deux conférences de donateurs organisées à Varsovie en 2022, n’ont pas été versés, a déploré lundi le premier ministre ukrainien, Denys Chmyhal.

  • Kiev assure bâtir des défenses « efficaces », sur fond de critiques

Des critiques relatives à la faiblesse des lignes de défense ukrainiennes, voire à leur absence, sont apparues après l’avancée rapide des forces de Moscou à l’ouest de la ville d’Avdiïvka, dans la foulée de la chute de cette localité à la mi-février, après quatre mois de rudes assauts de la part des Russes.

  • Demande d’enquête internationale indépendante sur la mort d’Alexeï Navalny

Quarante-trois pays, dont les Etats-Unis, l’Union européenne et le Royaume-Uni, ont lancé, lundi, un appel commun pour que soit menée une enquête internationale sur la mort de l’opposant Alexeï Navalny lors de sa détention en Russie. Dans un communiqué, consulté par l’Agence France-Presse, ils ont estimé que cette mort constituait un « nouveau signe de la répression croissante et systématique en Russie ».

  • Un pont ferroviaire dans l’oblast de Samara, en Russie, endommagé par une explosion

Une explosion a entraîné, lundi matin, la mise hors service d’un pont ferroviaire dans l’oblast de Samara, au sud de Kazan, en Russie, a annoncé la direction principale du renseignement du ministère de la défense ukrainien, sans en revendiquer la responsabilité.

Tout le live

Emmanuel Macron A Prague, Macron appelle les alliés de l’Ukraine à « ne pas être lâches »

Emmanuel Macron Emmanuel Macron au lycée français de Prague, mardi 5 mars 2024.

Emmanuel Macron a appelé mardi à Prague les alliés de l’Ukraine à « ne pas être lâches » face à une Russie « devenue inarrêtable », semblant assumer ses propos controversés sur un éventuel déploiement de troupes occidentales sur place.

« Nous abordons à coup sûr un moment de notre Europe où il conviendra de ne pas être lâches », a lancé le président français au début de sa visite en République tchèque. « On ne veut jamais voir les drames qui viennent (…) Il nous faudra être à la hauteur de l’Histoire et du courage qu’elle implique », a-t-il insisté, devant des membres de la communauté française.

Le chef de l’Etat doit rencontrer son homologue tchèque, Petr Pavel, qu’il a reçu à Paris en décembre, et signer avec le premier ministre, Petr Fiala, un plan d’action 2024-2028 pour le partenariat stratégique bilatéral dans lequel « les questions de défense seront clés » dans le contexte actuel, a-t-il dit.

Il doit en outre évoquer avec eux l’initiative de Prague pour fournir davantage d’obus à l’armée ukrainienne. A la mi-février, Petr Pavel a assuré que 800 000 obus disponibles hors de l’Union européenne pourraient être envoyés en Ukraine « en quelques semaines » si les fonds nécessaires – 1,5 milliard de dollars, selon le Financial Times – étaient rassemblés.

Longtemps réservé, Emmanuel Macron a annoncé la semaine dernière que Paris participerait à cette initiative, sans chiffrer sa contribution, contrairement à d’autres Etats comme les Pays-Bas, qui ont promis 100 millions d’euros. Les autorités tchèques espèrent qu’il le fera mardi.

Emmanuel Macron Une femme tuée par des bombardements russes dans l’oblast de Kharkiv, selon les autorités locales

Des tirs de l’armée russe ont coûté la vie mardi à une femme de 67 ans à Kourilivka (📍), dans l’oblast de Kharkiv, rapporte le chef de l’administration régionale, Oleh Synehoubov, sur Telegram.

Emmanuel Macron La divulgation d’une conversation entre officiers allemands due à une « erreur individuelle », selon le ministre de la défense

Emmanuel Macron Le ministre de la défense allemand, Boris Pistorius, s’adresse à la presse à Berlin, mardi 5 mars.

Le ministre de la défense allemand, Boris Pistorius, a attribué mardi à une « erreur individuelle » la divulgation d’une conversation entre officiers de la Luftwaffe au sujet de l’éventuelle livraison de missiles Taurus à l’Ukraine, l’un d’eux ayant utilisé une « connexion non autorisée ».

Le système de communication de la Bundeswehr est fiable dans son ensemble, a assuré le ministre lors d’une conférence de presse, affirmant que « la confiance » des alliés à l’égard de l’Allemagne restait « intacte ».

« Tout le monde connaît le danger de ces écoutes et sait que personne ne peut offrir une protection à 100 % (…) Nos partenaires savent que nous enquêterons sur l’affaire de manière déterminée », a-t-il poursuivi, affirmant n’avoir noté « aucun signe de méfiance » ou d’« irritation » dans ses échanges avec d’autres capitales depuis le début de cette crise.

Boris Pistorius a annoncé l’ouverture d’une enquête préliminaire, tout en écartant dans l’immédiat l’hypothèse « des conséquences individuelles ». « Je ne vais pas faire le jeu [du président russe Vladimir] Poutine en sacrifiant mes meilleurs officiers », a-t-il ajouté.

Emmanuel Macron France : le débat sur le soutien à l’Ukraine aura lieu le 12 mars à l’Assemblée, selon des sources parlementaires

Le débat suivi d’un vote sur le soutien à l’Ukraine aura lieu le 12 mars à l’Assemblée et le 13 mars au Sénat, selon des sources parlementaires citées mardi par l’Agence France-Presse.

Le chef de l’Etat, Emmanuel Macron, doit recevoir jeudi les chefs de file des partis pour évoquer la situation en Ukraine. L’Elysée avait annoncé fin février avoir demandé au gouvernement de faire devant le Parlement une déclaration « relative à l’accord bilatéral de sécurité conclu avec l’Ukraine » le 16 février, suivie d’un débat et d’un vote.

Emmanuel Macron Le « Sergueï-Kotov » était l’un des navires russes les plus modernes, selon la marine ukrainienne

Le patrouilleur Sergueï-Kotov, que les forces spéciales ukrainiennes disent avoir détruit, était l’un des bâtiments les plus modernes de la flotte russe, souligne mardi la marine ukrainienne.

Trois autres navires russes du même type ont été mis à l’eau, mais un seul n’a pas été endommagé, ajoute-t-elle, sur Telegram.

En deux ans, les forces ukrainiennes ont détruit une vingtaine de navires de la flotte russe de la mer Noire, dont un sous-marin, un vaisseau amiral et des navires de débarquement. Deux missiles se sont en outre abattus, le 22 septembre 2023, sur le quartier général de la flotte de la Fédération de Russie, à Sébastopol, ce qui a contraint la marine russe à déplacer une partie de ses navires plus à l’est.

Les services de renseignement militaire ukrainiens ont diffusé mardi sur les réseaux sociaux des images invérifiables de ce qu’ils disent être l’attaque du Sergueï-Kotov, le patrouilleur russe dont ils ont revendiqué la destruction.

Emmanuel Macron Le patrouilleur russe « Sergueï-Kotov » a été détruit, assure un porte-parole des services de renseignement ukrainiens

Le patrouilleur de la flotte russe de la mer Noire, dont l’attaque a été revendiquée mardi par les forces spéciales ukrainiennes, a été détruit, selon Andri Ioussov, porte-parole des services de renseignement militaire ukrainiens. « Cette fois c’est certain », a-t-il assuré sur les ondes de Radio Liberté, précisant que le navire avait déjà été touché lors d’une précédente attaque.

« En ce qui concerne l’équipage, la situation est en train d’être clarifiée. Il y a des morts et des blessés. Cependant, il est probable qu’une partie de l’équipage ait réussi à évacuer [le

…. à suivre
>>> Lire la suite de l’article>>>
Copyright for syndicated content belongs to the linked Source : Le Monde – https://www.lemonde.fr/international/live/2024/03/05/en-direct-guerre-en-ukraine-nous-refusons-d-entrer-dans-une-logique-d-escalade-tempere-emmanuel-macron-apres-ses-propos-sur-le-deploiement-de-soldats_6219817_3210.html

ADVERTISEMENT

En direct, guerre en Ukraine : « Nous refusons d’entrer dans une logique d’escalade », tempère Emmanuel Macron après ses propos sur le déploiement de soldats - En direct, guerre en Ukraine : « Nous refusons d’entrer dans une logique d’escalade », tempère Emmanuel Macron après ses propos sur le déploiement de soldats * En direct, guerre en Ukraine : « Nous refusons d’entrer dans une logique d’escalade », tempère Emmanuel Macron après ses propos sur le déploiement de soldats | En direct, guerre en Ukraine : « Nous refusons d’entrer dans une logique d’escalade », tempère Emmanuel Macron après ses propos sur le déploiement de soldats | En direct, guerre en Ukraine : « Nous refusons d’entrer dans une logique d’escalade », tempère Emmanuel Macron après ses propos sur le déploiement de soldats | En direct, guerre en Ukraine : « Nous refusons d’entrer dans une logique d’escalade », tempère Emmanuel Macron après ses propos sur le déploiement de soldats | | En direct, guerre en Ukraine : « Nous refusons d’entrer dans une logique d’escalade », tempère Emmanuel Macron après ses propos sur le déploiement de soldats | | En direct, guerre en Ukraine : « Nous refusons d’entrer dans une logique d’escalade », tempère Emmanuel Macron après ses propos sur le déploiement de soldats | En direct, guerre en Ukraine : « Nous refusons d’entrer dans une logique d’escalade », tempère Emmanuel Macron après ses propos sur le déploiement de soldats